Nos petits jeux hebdomadaires

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il y a 4 ans

De temps à autre, ma femme et moi avons nos petits jeux. Exemple, celui de cette semaine : juste avant que je rentre du travail, un jour quelconque de la semaine, Danaé doit inviter un homme à la maison. De mon côté, je dois arriver un peu plus tard, vers la même heure, pour lui laisser du temps. Ainsi, elle peut commencer sa petite affaire, juste avant que je rentre, afin que je joue ensuite les voyeurs.

Pourquoi ces petits jeux spéciaux et peu moraux ? Parce que ça met du piment dans notre quotidien, c’est aussi simple que ça. Pas besoin d’aller chercher des explications psychologiques vaseuses, ou un quelconque traumatisme dans notre e n f a n c e . Nous sommes un couple à présent arrivé dans le libertinage, point barre.

Et autant s’amuser à mettre en scène correctement nos petites lubies, n’est-ce pas ?

Lundi, je suis zen, détendu, serein. Il est vrai que je ne crois pas trop que ça sera pour aujourd’hui, d’autant que nous avons parlé de la chose samedi soir, au lit. Et que ce dimanche, hier donc, nous avons reçu de la famille. Néanmoins, je joue le jeu et j’arrive chez nous à l’heure convenue, soit un peu plus tard que de coutume. Comme je m’y attendais, rien pour ce lundi.

Mardi, je m’agite un peu plus. Peut-être que ça sera pour aujourd’hui, j’y crois à moitié, et encore c’est loin d’être certain. Mais quand j’arrive chez nous, ce n’est visiblement pas le cas. Pas grave, il y a d’autres jours dans la semaine…

Mercredi, je suis fébrile. Hélas, en arrivant, je ne vois aucune nouvelle voiture dans la rue, mais qui sait, peut-être que cet homme est venu à pied ou qu’il s’est garé plus loin. Je suis quand même un peu déçu, quand j’ouvre la porte, de découvrir que, visiblement, ce ne sera pas non plus pour aujourd’hui.

Jeudi, je désespère ! Toujours rien de rien ! Je soupçonne ma femme de le faire exprès. Il faut dire qu’elle sait parfaitement jouer les énormes vicieuses et perverses ! Et elle sait très bien s’y prendre pour me mettre sur le grill quand il le faut !

Vendredi, ah enfin, une voiture inconnue est garée devant chez nous ! Je commençais à me poser des questions… Je pars stationner un peu plus loin, près du petit parc au bout de la rue. Je vais un petit tour à pied pour me calmer, respirer un grand coup, puis je reviens. C’est d’une main fébrile que j’ouvre silencieusement la porte. Et là, plus de doute : de longs gémissements se font entendre ! Le jour J est enfin arrivé !

Les gémissements viennent d’en haut, de notre chambre, je suppose…

À pas feutrés, j’arrive dans le salon qui a visiblement servi de lieu de déshabillage : un pantalon, qui n’est pas le mien, gît au sol, puis un peu plus loin, deux chaussures en daim, qui ne sont pas non plus les miennes. Sur une chaise, je découvre une chemise ivoire un peu trop grande pour moi.

À prime vue, ma femme avait mis à ses pieds ses fameuses chaussures à talons très aiguilles, celles qu’elle met souvent pour m’exciter, celles qui claquent sur le pavé ! Celles-ci gisent au sol, à côté du canapé. Un peu plus loin, je découvre une de ses robes sexy, la noire avec des lanières latérales, bon choix qui n’offre pas beaucoup de tergiversations pour un homme normalement constitué quant à la conduite à tenir. Un soutien-gorge et un string complètent le tableau, je les reconnais, ils font partie d’un ensemble très excitant ! Je suppose donc que Danaé est restée en porte-jarretelles et bas, une façon très sexy de s’envoyer en l’air et qui a un effet extraordinaire sur la libido masculine !

Sur la table basse sont posée des lunettes à la monture plutôt fine, mais aux verres épais. Je suis étonné de découvrir un préservatif déjà utilisé et bien rempli. Ah bon, ils auraient déjà commencé en bas avant de monter ? Curieux…

Un petit cri de plaisir retentit là-haut. Je me déchausse afin de monter les escaliers le plus silencieusement possible. L’entendre prendre autant de plaisir avec un autre m’excite énormément. Remontent alors à ma mémoire certaines soirées en club durant lesquelles ce ne fut pas triste non plus ! J’arrive sur le palier, la porte de notre chambre est presque grande ouverte. Portant en effet toujours son porte-jarretelles et ses bas, ma femme est à quatre pattes en train de se faire joyeusement entreprendre par un homme plus âgé, un grand chauve plutôt musclé et bronzé.

Oui, ma femme a pris son temps pour bien choisir. Elle n’a pas cédé à la facilité de prendre un bonhomme que nous connaissions déjà. Je lui en sais gré.

Sans complexe, elle demande à son amant du jour d’y aller plus fort, ce qu’il s’empresse illico de faire, tout en lui tirant les cheveux en arrière, et en lui mettant quelques fessées sur son cul rebondi ! Encore un qui regarde trop certaines vidéos sur le web…

Soudain, ma femme ordonne d’une voix rauque :

— Retire-toi ! J’ai envie de venir sur toi !

Aussitôt dit, aussitôt fait, l’homme s’allonge sur le dos, Danaé le chevauche à présent sans complexe, comme si elle l’avait toujours fait avec lui. Impudique, le guidant d’une main vers sa fente détrempée, elle s’empale sur un sexe qui est nettement supérieur à la moyenne ! Ma salope de femme a décidé d’y aller de bon cœur, et dans ce cas, autant prendre les modèles surdimensionnés ! Je suis étonné que sa chatte puisse avaler sans problème un tel machin ! Quand je pense qu’elle a fait sa mijaurée quand je lui ai rapporté, il y a trois mois, un gros et puissant gode en latex !

Ah ces femmes !

Oui, elle y va carrément, en s’enfonçant profondément sur ce pieu costaud, puis en le faisant ressortir à moitié pour mieux replonger dessus. Elle se pistonne littéralement sur ce gros mandrin, dans une débauche de petits cris et de longs râles de plaisir. Oh oui, j’adore quand elle joue les petites putes de la sorte !

Soudain, elle lève les yeux, regardant vers la porte, et elle me découvre en train de me masturber en catimini ! Croyez-vous qu’elle s’arrête de faire ses cochonneries ? Même pas ! Au contraire, elle m’envoie un large sourire et continue de plus belle, passionnée, déchaînée ! Assurément, je peux lui faire confiance pour ce genre de chose…

Je comprends vite que son amant commence à avoir des soucis de self-control, il gémit de plus en plus fort. Soudain, elle se retire :

— Retiens-toi, Erwan, j’ai une autre idée ! Je veux autre chose ! Mets-toi debout sur le lit !

— À ton service, ma jolie !

Il se lève, elle s’agenouille devant lui, je distingue bien tout sans que son amant ne se doute de quoique ce soit. Prestement, elle enlève le préservatif, puis branle délicatement le sexe bien dressé qui pointe à la hauteur de son nez. Quelques instants plus tard, elle le capture entre ses lèvres et le suce sans retenue, telle la parfaite petite chienne qu’elle sait être !

Au fait, elle a dit "Erwan", il me semble. Curieux, ce type chauve ne ressemble pas trop à un breton. Il m’a l’air d’être plutôt méditerranéen. Mais maintenant, les prénoms ne signifient plus rien. Toujours est-il que ma garce de femme prend un évident plaisir à sa sucette de chair !

Soudain, elle extirpe le sexe luisant de sa bouche pour lâcher :

— Allez, vas-y, lâche-toi, viens jouir dans ma bouche !

Puis elle enfourne à nouveau ce gros braquemart entre ses lèvres voraces. Il ne faut pas bien longtemps pour que l’amant expulse dans divers grands râles tout son sperme dans cette bouche si suave et si chaude (j’en sais quelque chose depuis des années). Quelques filets de sperme mélangé de salive s’évadent de ses douces lèvres, glissent sur son menton pour aller s’écraser plus bas sur ses seins nus ! Vision paradisiaque !

Ma femme fignole sa sucette qui ramollit de plus en plus entre ses doigts. Puis, épuisé, son amant se retire, pour s’affaler ensuite sur le lit. Elle se laisse tomber à son tour contre lui. Après quelques instants de quiétude, l’homme dit :

— Ah, foutre de bordel, t’es une sacrée, toi !

— Merci, Erwan !

— Maintenant que je te connais, je ne te lâche plus ! Je veux pouvoir te baiser plusieurs fois par semaine !

— Merci pour ton enthousiasme envers ma petite personne, mais je te rappelle que je suis mariée, que je travaille, et que je n’ai pas beaucoup de temps libre…

Ma femme s’amuse à tracer des cercles sur le torse de son amant qui rétorque :

— Eh bien, en tout cas, ton mari ne sait pas ce qu’il loupe avec toi !

— Détrompe-toi ! Il profite, et plus que tu ne le crois… C’est juste que j’ai… que j’ai, disons, des besoins assez forts…

— Dans ce cas, tu peux compter sur ma lance à incendie ! On recommence ?

Elle le repousse gentiment d’une main, en faisant "non" du doigt de l’autre. :

— Désolée, mais il est l’heure, il faut que tu partes !

— T’es sûre qu’il va revenir ?

— Oui, je suis sûre et certaine : mon mari est ponctuel comme une horloge, il ne va pas tarder à se pointer !

— Ah, si seulement il pouvait tomber dans un bouchon !

Elle rit, il fait de même. Moi, je me cache silencieusement dans la chambre voisine. Je les entends sortir de la chambre, puis descendre les escaliers pour, sans doute, aller s’habiller dans le salon.

Alors j’entre dans notre chambre, continuant de m’astiquer. Je la parcours d’un vaste coup d’œil circulaire. La pièce est moite de sexe, les draps sont froissés et humides. On sent bien qu’il s’est passé diverses turpitudes ici…

Quelques minutes plus tard, j’entends une porte claquer.

Peu après, j’entends un pas léger remonter les escaliers. Ma femme s’encadre à l’entrée de notre chambre, toute joyeuse et visiblement satisfaite d’elle-même :

— Bonjour, mon lapin !

— Bonjour, ma colombe !

Nous nous embrassons fiévreusement.

— Tu sais quoi ? Il m’a dit que j’étais trop excitante, et c’est pour ça qu’il n’a pas réussi à se retenir !

— Ah, tu fais allusion au préservatif dans le salon, je présume…

— Bien présumé !

Elle capture mon sexe bien raide entre ses mains et commence une bonne branlette, comme elle sait si bien les faire. Ma chère femme n’est peut-être pas un premier prix de beauté, mais elle compense allègrement dans les sports en chambre. De temps à autre, par amusement, elle frotte ma verge contre son ventre. Soudain, elle me demande en minaudant :

— Toi aussi, mon lapin, je t’excite, n’est-ce pas ?

— Tu as de ces questions, ma colombe ! Bien sûr que tu m’excites, ça fait des années que tu me fais bander comme un âne !

Un grand sourire illumine son visage, puis elle continue d’une voix plus feutrée :

— Et ça t’a plu que je me fasse baiser par un autre, un type à grosse queue ? Humm ?

— Bien sûr que oui, petite salope ! Tu l’as déniché où ?

— Tss-tss, je ne révélerai pas mes sources ! Ah au fait, Erwan est myope comme une taupe, tu aurais pu être au pied du lit qu’il ne t’aurait pas vu !

— Tu penses à tout, ma colombe…

— Il le faut bien, non ?

J’ai du mal à me contenir, sa branlette est trop efficace ! Je serre les dents, mais voyant dans quel état je suis, cette garce s’amuse à accentuer sa pression, alors je lâche, je cède, j’explose :

— Salooope !

Puis j’inonde tout son ventre ! Des traînées luisantes de mon foutre dégoulinent lentement vers son pubis, puis meurent sur ses cuisses. Traînée, c’est aussi le mot qui me vient à l’esprit pour la qualifier. Mais seulement durant nos jeux, car Danaé est aussi mon amour à moi, ma femme, la seule et l’unique, même si parfois, je m’égare très momentanément ailleurs, tout comme elle…

C’est elle qui prononce, comme souvent, le mot de la fin :

— Humm, vivement le prochain jeu !

Tout en me faisant un mignon bisou sur le bout de mon gland gluant et suintant…

Patrik

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